Et s'il y avait un lien entre séparation et TDAH ?

C’était au beau milieu de la nuit, il y a environ trois ans. Je me suis réveillée avec ces deux mots : séparation et TDAH. Des mots accompagnés d’un sentiment profond, inexplicable même, d’un lien entre les deux.

Envahie par un refus (et une grande résistance) de mettre de l’avant cette explication plausible, je peux vous dire que les tentatives d’en faire fi ont été très infructueuses.

Les deux mots revenaient tout le temps et je pouvais sentir (et c’est encore le cas) leur vibrations dans mon oreille droite.

Alors j’ai observé…des amis, des anciennes clientes et des clientes actuelles. 

Dans la majorité des cas, une séparation. La plus fréquente étant celle des parents.

Les synchronicités pour démontrer le lien entre la séparation et le TDAH se sont multipliées puis, un jour, en faisant une recherche sur les enfants indigo, un article mentionnait qu’une de leurs caractéristique est qu’ils ne supportent pas la séparation.

Oh...my...god !

Séparation, abandon, hypersensibilité et conscience

À partir de ce moment-là je me suis mis à faire des liens en observant d’un angle tout à fait nouveau la séparation de mes parents...et toutes celles que j’ai vécues par la suite.

Avec des amoureux, des professeurs, ma grand-mère, des amis (es), des animaux de compagnie etc… J’ai dû remplir des centaines de seaux avec mes larmes.

Chaque fois que je parle du lien entre la séparation et le TDAH, la réaction est toujours la même : ça fait tellement de sens et ça résonne fort.

Un autre élément intéressant est que l’abandon est une blessure très fréquente chez les indigo dont l’hyperactivité est un des moyen pour compenser.

C’était mon cas jusqu’à ce que je réalise que cette grande souffrance émotionnelle, comme celle de séparation, faisaient partie d’une grande transformation d’éveil de l’indigo que je suis.

Et toi qui lit ceci, est-ce que tout ça fait du sens et vibre en toi ?

Alors je me suis mis à voir chaque séparation comme un cadeau et je me rappelle précisément le matin où ça a commencé.

Mon chum commençait un nouveau défi professionnel qui l’amenait à s’absenter de la maison pendant 14 jours.

Le matin de son départ, alors que je le regardais partir pour l’aéroport, j’ai tellement pleuré. C’était totalement irrationnel et incontrôlable. 

À chaque fois qu’il repartait, je pleurais, sachant toutefois que ça faisait partie d’un processus que je ne comprenais pas toujours.

Ce n’était pas la femme qui pleurait le départ de son amoureux, mais la petite fille de trois ans et demi qui pleurait celle de son père.

Ça a duré un certain temps puis un jour, les larmes ont cessé de couler.

Les hypersensibles ne sont pas trop émotifs, soupe au lait ou hors de contrôle émotionnellement. 

Nous avons une surefficience des sens, cette immense capacité de capter les éléments et les variations les plus subtiles. Tellement que s’en est déstabilisant, qu’on ne comprend pas toujours.

Si vous souhaitez y voir plus clair et avoir une meilleure compréhension de l’incroyable force du TDAH et de l’hypersensibilité, n’hésitez pas à réserver une session découverte avec moi afin de découvrir comment je peux vous accompagner.

Curieuse d’en découvrir davantage sur les enfants indigo, cet article est fort intéressant.

Retour au blogue